Quand on aime ses plantes, on les observe, on les scrute, on les bichonne. Comme une mère anxieuse pour son petit et qui s’interroge de savoir s’il est assez couvert, l’amoureux de plantes vertes se laisse glisser vers l’anthropomorphisme. A…

Quand on aime ses plantes, on les observe, on les scrute, on les bichonne. Comme une mère anxieuse pour son petit et qui s’interroge de savoir s’il est assez couvert, l’amoureux de plantes vertes se laisse glisser vers l’anthropomorphisme. A…